L’impôt foncier, plus communément appelé « taxes municipales », constitue la principale source de revenus des villes québécoises. Il est principalement composé de la taxe foncière générale dont les taux sont établis pour chacune des catégories d’immeubles en fonction des dépenses prévues. Ces taux sont déterminés annuellement par le budget de fonctionnement de la Ville, qui est adopté par le conseil municipal au cours du mois de décembre précédant l’année visée.

La taxe foncière est imposée à chaque propriétaire d’immeuble selon la valeur inscrite au rôle d’évaluation. La Ville impose également des tarifications pour les services d’aqueduc, d’égout et de gestion des matières résiduelles.

Tous les ans en début d'année (au plus tard le 1 mars), la Municipalité doit émettre les comptes des taxes. Comme responsable du paiement des taxes rattachées à votre propriété, vous devez vous assurer de la réception du compte des taxes envoyé par voie postale, et  vous devez vous assurer que celui‑ci est ou sera payé aux dates d’échéance prévues.

Si vous n'avez pas reçu votre compte de taxes dans votre boîte aux lettres, veuillez nous contacter avant les dates d'échéance prévues : (819) 225‑4345.

L'AGA est ouvert à tous les citoyens(nes) qui aimeraient en savoir plus sur l'organisme et s'y impliquer.

Mélody Lamframboise, secrétaire‑trésorière

Inspiré par l'approche Voisin solidaires, Espace MUNI dévoile une nouvelle campagne axée sur l'adoption de petits gestes pour raviver la convivialité dans les communautés .

Dans les prochaines semaines, une série de messages sera mise à la disposition des municipalités et des organismes afin d'encourager la bienveillance dans les voisinages du Québec.

Pour des communautés tissées serrées où se voisiner prend tout son sens, partagez la campagne sur vos différents réseaux et dans vos milieux.

Pas de neige, pas de problème! On utilise des branches, des structures existantes; on fabrique des blocs de glaces colorées; on utilise la butte de neige du déneigement...

Pas besoin d'être gros, pas besoin d'être beau! L'important, c'est de jouer dehors et de passer du bon temps entre amis ou en famille. En plus, plusieurs prix seront tirés parmi les participants à la fin du concours.

Tous les détails ici : Défi château de neige

Gratuite et ouverte à tou.te.s. Pour consulter la publicité, veuillez cliquer sur le fichier joint à ce courriel.

Vous pouvez y assister à l’un des trois bureaux des Associations OU de votre domicile via Zoom.

Voici le lien ZOOM : https://us02web.zoom.us/j/8198501968

Veuillez nous informer de votre présence au (819) 606‑0076 | info@prochesaidantsbny.ca

Un joueur des Rangers souffre d’un cancer qui frappe surtout les hommes, la prostate.

Il y a encore trop de joueurs qui jouzent avec pas de casques.

Notre parti politique n’avait aucun député, mais maintenant, nous en avons treize fois plus. - Camil Samson

Dans cette famille, ils étaient stériles de père en fils.

Si tu gagnes, t’es un héros. Si tu perds, t’es un zéro. – Jean Perron

On est au crépuscule d’une nouvelle saison.

Parfois, on dit qu’un mot vaut mille images. – Mario Langlois

Sans que ce soit prévu, on s’est rencontré fortuitement au Centre Bell par hasard.

Il n’y a pas l’ombre d’une goutte que le Canadien n’ira pas en série cette année.

Je me demande bien pourquoi Patrice Brisebois est venu se mettre le nez dans l’enfer du mal. – Jean Perron

1864 : La plupart des chemins n’étaient que tracés et quasi impraticables. Quant aux cours d’eau, il n’en existait aucun.

21 mars 1865 : Lors de la 3^e séance du conseil municipal, le rang 11 est pris en charge par la Municipalité sur une requête de Jean‑Baptiste Béliveau de Saint‑Wenceslas. Après cette date, les séances du conseil et le bureau du secrétaire‑trésorier sont tenus chez Pierre Bergeron. Demeurant sur le rang 13, l’endroit était plus central et plus facile d’accès pour la majorité des conseillers.

3 juin 1867 : La 5^e séance du conseil municipal est tenue à cette date. Il fut longuement discuté du mauvais état des chemins pendant l’été et la quasi impossibilité de les égoutter.

1869‑1872 : Deux fois déjà, le poste de maire avait été offert à des citoyens du rang 13 dont Noé Tourigny, mais ils avaient tous refusé l’offre. Les terres du rang 13 étaient les plus éloignées des cours d’eau, les rendant plus facilement inondables. Le chemin du rang 13 était très difficile à entretenir.

1872‑1873 : Nommé maire malgré lui, Abraham Descôteaux ne voulut jamais assister aux séances du conseil, de sorte qu’Alexis Rheault du rang 13 fut prié de le remplacer comme maire suppléant.

1874 : Au cours du mandat du maire David Gaudet, la Municipalité fait des progrès énormes dans la réfection des chemins et des travaux d’égouttement.

1875‑1878 : Malgré les travaux d’égouttement faits jusqu’ici, les basses terres étaient souvent inondées lors de grandes pluies, causant un tort considérable aux récoltes qui décourageaient les colons. Plusieurs quittèrent leurs terres. Il fallait à tout prix faire des travaux importants pour conduire l’eau des terres jusqu’à la rivière Blanche et même jusqu’à la rivière Nicolet de Saint‑Léonard.

1878‑1879 : L’administration du maire François Dupont pourrait être appelée « celle des cours d’eau », tellement il se fit de décharges au cours de ces deux années.

1879‑1881 : On disait que le curé Charles‑Édouard Barolet allait bientôt partir, les revenus de la Paroisse n’étant pas suffisants pour le faire vivre. Il quittera la Paroisse deux ans plus tard.

1886‑1888 : La prospérité commence à régner dans la Municipalité. Les chemins sont carrossables et les cours d’eau sont suffisamment égouttés.

1896‑1897 : Noé Tourigny, premier colon‑défricheur de Sainte‑Eulalie, devient le 17^e maire de Sainte‑Eulalie.

1910 : Le conseil vote un règlement obligeant tous les propriétaires ou occupants du village à faire, vis‑à‑vis leur propriété, des trottoirs en planches ou madriers, et de les entretenir en bon état. Ces trottoirs devraient avoir au moins trois pieds de largeur, être de niveau ou d’égale hauteur et en ligne droite.

1915‑1916 : Le conseil doit payer les frais pour un premier bris d’automobile sur la route de Napoléon Aubry (rang 14), les chemins n’étant pas construits pour ce genre de véhicule.

1917 : Le conseil permet à la compagnie locale de téléphone de poser une ligne le long des voies publiques de la Municipalité. Auparavant, Alexandre Gaudet était propriétaire de la seule ligne téléphonique à Sainte‑Eulalie.

Cette même année, le conseil municipal fait une demande d’allocation auprès du gouvernement pour le gravelage de la Grande‑Ligne (route 161) sur son territoire.

Source: En commençant par le 13 : Sainte‑Eulalie 1857‑2007 par Rosaire Lemay.